Comment traiter un sujet complexe sans même le mentionner ? Comment utiliser les émotions, les regards et le silence pour nous plonger dans une guerre des nerfs que l’humain a toujours vécu ?best custom jerseys adidas outlet nike air max 97 white womens nike air max 270 Bengals jerseys adult sex toys sex toys for men wig store sex toy shop custom jerseys adult sex toys womens nike air max 270 Adult Sex Toys for couples lace front wigs mens nike air jordan
«The Power of the Dog», sous la direction de Jane Campion relève très bien ce défi avec un thriller psychologique sous le prisme du western américain pur qui est très justement exécuté.
BANDE-ANNONCE – « The Power Of The Dog »
Un casting impressionnant !
Le casting est tout autant impressionnant avec le génie de Benedict Cumberbatch, Kirsten Dunst, Jesse Plemons (qu’on a découvert dans «Breaking Bad» qui a torturé Jesse) et la découverte d’un nouveau nom (at least for me) Kodi Smit-McPhee qui nous a offert un jeu digne de ses co-stars.
Au-delà de la beauté de la réalisation qui a mis en valeur beaucoup plus les émotions, les paysages les gestes que le dialogue, Jane Campion a abordé un sujet très complexe mais très réel : La masculinité toxique.
Un film qui traite la masculinité…
Tout au long du film, les scènes sont rythmées par un silence assourdissant, pesant, des regards violents qui convergent tous vers le même point : le poids de la masculinité (la virilité, être un homme un costaud) sur la santé mentale des hommes et finalement leur vie. Le fait de créer un bouclier de violence psychologique envers les personnes différentes de nous explique exactement ce poids qui est le tabou de l’homme, le masculin. Un homme qui se retrouve à cacher sa vulnérabilité en harcelant les gens autour de lui alors que lui-même était un harcelé.
Malgré le fait que le film ait été tourné dans les années 1925, le sujet reste très présent un autre film un peu plus ancien l’a abordée « Moonlight » que j’invite tout le monde à voir.
Finalement et comme a très bien dit l’expert « Rachid Mouatakide » : Les humains sont une structure aussi complexe que la chaîne de montagne du paysage prêt de la grange, tout le monde les voit… Mais rares sont ceux qui perçoivent le chien qui aboie.
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